Kle/pthj kate/lusen e1n tini pandoxei/w|. die/menen de\ e0kei= h(me&raj tina_j prosdokw~n kle/yai ti. w(j de\ ou)k h)du&nato tou=to poih=sai, mia|~ tw~n h(merw~n i0dw_n to_n pandoxe/a e)nduqe/nta xitw~na w(rai=on kai\ kaino_n kai\ kaqezo&menon pro_ th~j pu&lhj tou~ pandoxei/ou kai_ ou)de/na a1llon tuxo&nta e0kei=, e0pelqw_n kai\ o( kle/pthj e0ka&qisen plhsi/on tou~ pandoxe/wj kai\ h1rcato dihgei=sqai met' au)tou~. kai\ dihgou&menoi w3ran i9kanh_n e0xasmh&sato o( kle/pthj kai\ o(mou~ meta_ to_ xasma~sqai w)rusa~to w3sper lu&koj. o( de\ pandoxeu&j e!fh pro_j au)to&n: -Ti/ ou3twj poiei=j;- kai\ o( kle&pthj a)pekri/nato : -Nu~n a)naggelw~ soi: a)lla_ de/omai/ sou, fula&con ta_ i9ma&tia& mou: e0ntau~qa ga_r katalei/yw. e0gw_ ou)k oi]da po&qen moi e0pe/rxetai to_ xasma~sqai ou3twj, o3tan gou=n xasmhqw~ trei=j bola&j, gi/gnomai lu&koj e0sqi/wn a)nqrw&pouj.- kai\ tau~ta ei0pw_n e0xasmh&sato e0k deute/rou kai\ pa&lin w)rusa=to kaqa&per kai\ to_ prw~ton. a)kou&saj ou}n tau~ta o( pandoxeu_j kai\ pisteu&saj tou~ kle/ptou e0fobh&qh kai\ a)nasta_j h)bou&leto fugei=n. o( de\ kle/pthj draca&menoj au)to_n tou~ xitw~noj pareka&lei au)to_n le/gwn : - a)na&meinon, kai\ labe\ ta_ i9ma&tia& mou, i3na mh_ a)pole/sw au)ta&.- kai\ parakalw~n au)to_n a)noi/caj to_ sto&ma h1rcato xasma~sqai e0k tri/tou. o( de\ pandoxeu_j, fobhqei/j mh_ fa&gh| au)to&n, kate/lipen to_n e9autou~ xitw~na kai\ ei0selqw_n dromai/wj ei0j to_ pandoxei=on kathsfali/sato. kai\ o( kle&pthj labw_n to_n xitw~na a)ph~lqen. ou3tw panqa&nousin oi9 ta_ mh_ a)lhqh~ pisteu&ontej. Un voleur s'arrêta dans une auberge. Il
là pendant
attendant de voler quelque chose. Comme
une des journées, voyant l'aubergiste vêtu d'un habit élégant et neuf et assis devant la porte de l’
et comme personne d'autre ne se trouvait là,
s’approchant s’
près de l’
et commença à
avec lui. Et, ayant conversé un moment suffisant, le voleur se mit à bâiller et en même temps que le bâillement il se mit à hurler comme un loup. L'
lui dit : "
fais-tu cela ?" Et
répondit : "Maintenant je vais te le dire; mais j'ai besoin de toi, garde mes habits car
choose
ici je vais les laisser
je n'en ai plus besoin
. moi, je ne sais d'où me vient de bâiller ainsi, ce qui est sûr, c'est que (gou=n) lorsque j'ai bâillé trois coups, je deviens un
mangeur d’hommes" Et, ayant dit cela il bailla une deuxième fois. et hurla de nouveau, comme auparavant. Donc, l'aubergiste, entendant cela et ajoutant foi aux paroles du voleur fut saisi de terreur, et se levant, il
. Mais le voleur, le saisissant par son vêtement, l’
(à son aide) en lui
: "Reste et
mes vêtements, pour que je ne les perde pas." Et l’
, en ouvrant la bouche il se mit à bâiller une troisième fois. L'
de peur qu'il ne le mange, abandonna son propre habit et, rentrant en courant dans l'auberge, il se mit en sécurité. Et le voleur, ayant pris le
, s’en alla. Ainsi s'instruisent ceux qui ajoutent foi à ce qui n'est pas vrai.